Batterie DELL XPS L701x |
Posted: February 8, 2014 |
Le poste de directeur de la batterie-fanfare est la clef de voûte de l’orchestre. La question musicale est à considérer mais également la gestion humaine. « Un orchestre, c’est un groupe où doit régner le vivre ensemble. Tout le monde n’est pas fait pour être leader, c’est comme partout », commente Guy Coutanson. Le directeur de batterie-fanfare doit également savoir lire une partition qui regroupe celles de tous les instruments. Il l’interprète ensuite à sa façon. « Il n’y a pas deux chefs qui dirigent de la même manière. Le son est différent. Cela s’entend dans la couleur, dans l’harmonie, dans le phrasé, dans la nuance, dans le style... C’est comme si deux acteurs de théâtre lisaient un même texte. L’interprétation sera forcément différente », conclut Guy Coutanson. La batterie-fanfare, qu’est-ce que c’est ? Attention à ne pas confondre la batterie-fanfare avec une harmonie... « C’est une société de musique regroupant des cuivres à son naturel comme le cor de chasse, le clairon-basse... Des instruments d’ordonnance, c’est-à-dire pour donner des ordres, utilisés essentiellement à l’armée », indique Alain Pamart, représentant régional de la CFBF. Dans les années 50, ils ont été sortis du carcan militaire pour créer un orchestre capable d’aborder toute forme de musique. « En concert, il n’y a pas que la marche funèbre. Des compositeurs ont écrit des morceaux jazz ou de musique classique », précise Alain Pamart. Des morceaux récents comme Skyfall ou Call me Maybe peuvent également être revisités. La batterie-fanfare, c’est également les défilés. « Elle peut intervenir pour animer un carnaval, la fête des chapons... Celle de Marquette est sortie 24 fois en 2013, dont 6 fois hors de la région. »
C’est l’environnement dans lequel j’ai grandi qui explique mon rapport à la fusion et au jazz. Quand j’etais au collège et sur le point d’entrer au lycée, tout un tas de musiques sonts nées. Pendant les premiers moments de mon éducation musicale, j’ai été exposé à tout un tas de choses qui étaient là pour la première fois, et c’etait vraiment excitant pour moi. Donc il s’agissait d’ecouter, et d’essayer de comprendre, du mieux que je pouvais – d’entendre. Je ne pouvais pas aller sur You Tube et copier ces personnes et les laisser tout expliquer dans le détail pour moi. On peut rester coincé dans l’imitation. La copie n’est qu’un court moment du développement musical. Il faut dépasser l’imitation et développer sa propre identité, sa propre imagination. Et comme j’étudiais beaucoup, j’ai commencé à me rendre compte de certaines différences et à penser: “Je peux jouer ça, mais attends une minute: maintenant je suis en train de jouer ce tempo jazz, donc il faut que je touche la batterie différemment parce que ça sonne complètement débile là si je fais ça. Et si je joue comme ça, ça sonnerait comme si je jouais du jazz dans un big band, mais bien sûr ça sonnerait complètement à côté de la plaque si je jouais dans une petite formation. Et si mon tempo sonne d’une certaine façon, je dois l’ajuster et je dois faire cet ajustement dans mon imagination, dans ma propre tête.” Donc en essayant d’utiliser ce desir de jouer correctement et mon imagination, j’autorisais mon corps à me dire “attends, ça ne me semble pas tout à fait juste… je dois toucher la cymbale différemment, je dois tenir ma baguette d’une autre manière. Je dois devenir plus fluide maintenant.” Donc ma physiologie changeait, parce qu’à l’intérieur de ma tête, je me débattais pour comprendre le concept. Et à partir du moment où je comprenais ce concept, tout à coup, l’aspect physiologie se mettait en place. Mon corps obéissait au concept que j’essayais de manifester. Donc, c’est pour ça que la technique doit être l’esclave du concept. Technique signifie simplement “au moyen de” et tu dois l’adapter de façon à ce qu’elle serve ton concept. Et des années plus tard j’ai réalisé que c’est plus ergonomique pour moi de trouver un juste milieu, d’avoir une approche technique globale qui me permet de changer et de m’adapter physiologiquement en fonction du concept et du type de musique que je joue.
Ne plus avoir besoin de mettre de piles dans une montre connectée ou devoir là recharger via une connexion externe. Apple travaillerait sur une montre connectée disposant d’une batterie rechargeable via l’énergie solaire. L’iWtach de la marque à la Pomme pourrait ainsi disposer d’une autonomie plus importante et se recharger en permanence où dès que l’autonomie est trop faible. Samsung, avec sa Galaxy Gear dispose d’une autonomie de 24 heures. Apple souhaiterait proposer une autonomie plus importante. Certaines montres proposent de se recharger grâce aux mouvements du poignet de son utilisateur. Apple avait déposé en 2009 un brevet sur cette technologie. Avec une iWatch rechargeable à l’énergie solaire, nul besoin de devoir bouger le bras pour conserver une autonomie intégrale. Apple travaillerait sur l’induction et l’énergie solaire Selon le New York Times, la marque à la Pomme travaillerait sur deux axes afin d’améliorer l’autonomie d’une montre connectée. L’induction et l’énergie solaire. Un système de recharge sans fil, via l’induction serait également en cours d’expérimentation. Au niveau de l’énergie solaire, l’iWatch devrait embarquer une surcouche transparente composée de cellules photovoltaïques qui capteraient les rayons nécessaires à son rechargement. L’iWatch se rechargerait ainsi toute la journée. Apple aurait également embauché des ingénieurs spécialisés en énergie solaire qui travailleraient actuellement sur des véhicules électriques de Toyota et de Tesla Motors. Des brevets dans ce domaine auraient été déposés. (Agence Ecofin) - Une équipe de chercheurs américains de l’université Virginia Tech, à Blacksburg, a développé une batterie qui fonctionne à base de sucre. Cette batterie à une densité de stockage d’énergie dix fois supérieure à celle au lithium. Une avancée qui pourrait aboutir au remplacement des batteries conventionnelles de nos appareils électriques par une nouvelle génération de piles moins chères, rechargeables et biodégradables. Une technologie qui serait commercialement viable d’ici trois ans Le sucre est une source d’énergie indispensable du corps humain. Selon le professeur Y.H Percival Zhang, qui a mis au point avec son équipe la bio batterie : « Le sucre est un composé naturel parfait pour le stockage de l’énergie. » Si les batteries à sucre de ce type ne sont pas une nouveauté, elles ne sont à ce jour pas assez performantes pour être utilisées à l’échelle industrielle. Mais la donne pourrait changer car la batterie du professeur Zhang présente une densité d’énergie inédite, dix fois supérieure à celle d’une batterie lithium-ion. Cette densité remarquable devrait permettre d’améliorer l’autonomie, le point faible des batteries à sucre par rapport aux modèles lithium-ion. Le chercheur, agrégé d’ingénierie des systèmes biologiques au Collège d’agriculture et des sciences de la vie, estime que cette technologie sera commercialement viable d’ici trois ans. Une batterie non-explosive et non-inflammable Les chercheurs ont imaginé une biobatterie à cartouche. A la manière des imprimantes à encre, il suffirait de remplacer la cartouche une fois vide. Le professeur Zhang affirme que la configuration de sa batterie au sucre pourrait être adaptée aux designs aussi variés qu’exigeants des smartphones, tablettes, capteurs et autres vêtements intelligents. La maltodextrine (obtenue par hydrolyse d’un amidon) sert de « carburant ». Lorsque ce combiné de différents sucres est associé à l’air, il produit de l’eau et de l’électricité. Un autre avantage de cette solution à base de sucre par rapport aux piles à combustible d’hydrogène ou à méthanol direct est qu’elle n’est ni explosive, ni inflammable.
En commercialisant une nouvelle offre de location, les batteries de Renault ZOE sont désormais proposées en 5 formules différentes. La dernière-née, appelée Z.E. Access et destinée aux « petits-rouleurs », permet ainsi de ne débourser que 49 euros par mois pour 5 000 km parcourus dans l’année. Principalement adaptée aux propriétaires de ZOE étant célibataires et évoluant dans un environnement urbain – dans les familles, les clés d’une voiture électrique font rapidement l’objet de toutes les convoitises –, cette offre « minimaliste » pourrait inciter davantage de clients à sauter le pas de l’électrique.
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|