Battery for Lenovo BATHGT31L6 |
Posted: October 10, 2017 |
Annoncée à 5 heures sur le site du constructeur, l'autonomie constatée par nos soins a été de 4h30 (Wi-Fi désactivé, écran à 100 cd/m², casque branché et rétroéclairage du clavier éteint). Un résultat honnête pour cette machine à la configuration gourmande. Les différentes configurationsLe Lenovo Ideapad Y510p n'est disponible que dans la configuration que nous avons reçue en test.Cependant, il est relativement simple d'ouvrir le capot arrière pour changer certains composants comme le disque dur ou ajouter un SSD au format mSata. À noter également que le système Ultrabay permet de remplacer la carte graphique par un lecteur optique vendu en option par le constructeur. L'année dernière, Gigabyte nous avait agréablement surpris avec le P55W, un ordinateur portable "gamer" de 15,6 pouces, qui parvenait à allier de très bonnes performances, une gestion de la chaleur maîtrisée et un encombrement réduit. Quelques mois plus tard, le constructeur taïwanais nous propose la V5 de sa machine, qui profite d'un processeur de dernière génération et, ô surprise, d'un écran plus lumineux. Cette version 2016 du P55W est très semblable, voire identique sur certains points au modèle de l'année précédente. En conséquence, les sections "Construction", "Mobilité/Autonomie" et "Audio" ci-présentes ne sont que des mises à jour de celles du test de la version 2015. Si vous connaissez déjà bien le P55W 2015, nous vous invitons donc à consulter directement les sections "Écran", "Performances" et "Jeu" de ce P55W V5, qui elles diffèrent en raison de changements de composants. Le P55W V5 reprend le châssis inauguré fin 2015, plus épais que celui des P35. Il affiche un design travaillé, avec des lignes biseautées et une touche de couleur avec des liserés orange sur les bords. La finition ne montre aucun défaut ni jeu. La surface est entièrement recouverte de matière soft-touch, très agréable sous les doigts, mais qui retient facilement les traces. Le clavier de type chiclet est composé de touches de bonne taille, qui offrent un rebond rapide et une longueur de frappe bien ajustée. Le confort est donc de mise et ce clavier est un bon compagnon, que ce soit pour de longues séances de frappe ou pour jouer. Le clavier profite d'un rétroéclairage blanc avec deux niveaux d'intensité. Le touchpad, quant à lui, affiche des dimensions correctes (10 x 8 cm). Il offre bien sûr tous les raccourcis propres à Windows. Cependant, comme l'ensemble des portables gamers déjà testés, son utilisation en jeu ne peut être qu'anecdotique et l'on préférera s'offrir les services d'une vraie souris pour joueur.
Autre point fort de ce châssis, sa gestion de la température, qui était jusqu'à aujourd'hui le gros point faible des Gigabyte. Ici, le constructeur a profité de l'épaisseur supplémentaire pour intégrer un système de refroidissement digne de ce nom, qui fait désormais jeu égal avec celui de l'Asus ROG G751 — une référence selon nous. On atteint ainsi un maximum de 54,1°C au niveau de la sortie arrière droite de l'ordinateur. Le bruit est par ailleurs un peu plus maîtrisé que sur le P55W V4, puisque l'on ne dépasse pas les 41 dB(A), même à plein régime. On entend donc un souffle continu pendant une partie, mais c'est tout à fait supportable. Le P55W embarque une dalle IPS mate et Full HD (1 920 x 1 080 px). Contrairement au modèle de l'année dernière, l'écran de la version 2016 profite d'une bonne luminosité maximale (310 cd/m² contre 200 cd/m² sur le V4), tandis que le taux de contraste est juste au dessus de la moyenne (950:1). La dalle affiche donc une bonne lisibilité, quel que soit l'environnement (intérieur ou extérieur). Le Delta E est assez bon (4,7), tandis que la température des couleurs grimpe à 6 920 kelvins (6 500 K attendus). Le rendu est donc assez fidèle, mais les couleurs sont légèrement froides et ont donc tendance à tirer vers le bleu. La courbe gamma est pour sa part assez irrégulière et les blancs sont un peu brûlés. Quoi qu'il en soit, l'écran du P55W reste très satisfaisant, d'autant plus qu'il se montre bien plus lumineux que sur la précédente version du produit. La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-6700HQ, 8 Go de mémoire, une carte graphique dédiée Nvidia GeForce GTX 970M et un SSD de 256 Go accompagné d'un HDD de 1 To.Ce nouveau Gigabyte P55W passe donc à Skylake côté CPU et se dote désormais d'un Intel Core i7-6700HQ. Il s'agit d'un processeur à 4 cœurs gravé en 14 nm, affichant des fréquences allant de 2,6 GHz à 3,5 GHz en mode turbo. Autant être honnête, une fois de plus la différence de performances par rapport à un processeur Core i7 de la précédente génération est infime, l'indice de puissance étant même ici légèrement moins élevé. En pratique, la machine se montre toujours très rapide, réactive et conviendra parfaitement à tous les usages, que vous soyez amateur de montage vidéo, de retouches photo ou un utilisateur avancé de Microsoft Office. Le couple SSD de 256 Go + HDD 1 To est quant à lui idéal, puisqu'il permet d'installer une grande quantité d'applications et de jeux, tout en offrant des temps d'accès très courts. La machine s'éteint par ailleurs en 9 secondes et démarre en 12 secondes.Côté carte graphique, nous avons affaire à la bien connue GeForce GTX 970M de Nvidia, que nous avons déjà croisée dans de nombreux produits. Elle utilise un GPU GM204 à 1 280 unités de calcul fonctionnant à 924 MHz en fréquence de base et 1 134 MHz pour les fréquences boost. La quantité de mémoire GDDR5 est de 3 Go, pour une fréquence fixée à 1 250 MHz. C'est donc une carte graphique strictement équivalente à celle du P55 V4.En pratique, on peut ainsi jouer à la grande majorité des jeux du marché à plus de 40 images/seconde, à un niveau de détail calé entre "élevé" et "très élevé". On relève ainsi 89 i/s sur Tomb Raider, 59 i/s sur Battlefield 4 ou encore 42 i/s sur The Witcher 3 au niveau de détail maximal. Sur des jeux très exigeants, il faudra cependant baisser un peu les réglages graphiques pour une expérience fluide, puisque Crysis 3 ne dépasse pas les 26 i/s et Metro Last Light les 30 i/s.
Avec ses mensurations et son poids (380 x 269 x 34 mm pour 2,3 kg), le Gigabyte P55W V5 profite d'un châssis qui offre un bon compromis entre les très fins et chauds Aorus et les plus imposants Asus ROG G751 ou MSI GT72. Triste surprise, son autonomie n'atteint cependant que les 3h30 sous notre protocole de test (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché). La connectique, assez complète, se compose de quatre ports USB 3.0, un port USB Type-C, un port HDMI, un D-sub, un RJ45, un lecteur de carte SD et un graveur de DVD.Nous retrouvons bien sûr le Bluetooth et le Wi-Fi 802.11 b/g/n. Ce dernier offre un signal relativement stable à -47 dBm entre 5 et 10 mètres, et tombe à -51 dBm à 20 m.La sortie audio de notre modèle de test est d'assez bonne facture. Sa puissance de sortie est relativement importante, avec une belle image stéréo. La distorsion se fait sentir seulement à haut volume et les bruits parasites sont absents. Les haut-parleurs offrent une qualité moindre, comme le montre en partie la courbe de réponse en fréquence ci-dessus. Les basses sont absentes et seuls les médiums se font entendre. On peut aussi leur reprocher leur faible niveau de puissance. Ils sont donc juste bons pour écouter des voix. Présenté lors du CES de Las Vegas au mois de janvier dernier, le moniteur Dell UltraSharp UP3017Q à dalle Oled de 30 pouces était censé être disponible à la fin du mois de mars, mais il n'en est rien.Le moniteur Dell UltraSharp UP3017Q est le premier moniteur Oled du marché. Sa dalle de 30 pouces affiche une définition Ultra HD de 3 840 x 2 160 px, un temps de réponse de 0,1 ms, des angles de vision au plus large, un contraste virtuellement illimité — que Dell annonce timidement à 400 000:1 — et une couverture de 100 % de l'espace colorimétrique Adobe RGB. Autre bonne nouvelle, le taux de rafraichissement monte à 120 Hz. Au niveau de la connectique, il dispose d'une entrée USB-C véhiculant le DisplayPort et jusqu'à 100 watts en sortie pour alimenter un ordinateur portable. Il offre également une entrée HDMI 2.0 et une entrée mini-DisplayPort 1.2. Sur le papier, c'est tout simplement le moniteur idéal. Dell vient d'annoncer que la sortie de ce moniteur de nouvelle génération est reportée. Prévu initialement pour la fin du mois de mars, il sera disponible un peu plus tard, probablement dans le courant du troisième trimestre. La société américaine indique qu'elle peaufine actuellement les derniers réglages avant la mise en production. Le prix, quant à lui, ne devrait pas bouger puisque l'UltraSharp UP3017Q sera commercialisé aux alentours de 5 000 $, et donc au moins autant en euros. Cela laisse encore un peu de temps pour économiser. Quelques mois après Microsoft, c'est au tour d'Apple, ce vendredi, de fêter ses 40 ans. La firme, officiellement fondée le 1er avril 1976, est aujourd'hui connue de tous. Mais savez-vous où se trouvent les racines de la pomme ? Retour sur — un peu plus de — 40 ans d'histoire contrastée.
On peut dire, à bien des égards, que l'aventure Apple a réellement commencé en 1971, avec la rencontre de Steve Jobs et de Steve Wozniak. Présentés l'un à l'autre par un ami commun, Bill Fernandez, les deux hommes n'ont pas tardé à devenir amis et partenaires. Dès 1972, ils commercialisent ensemble un dispositif conçu par Wozniak qui permet de téléphoner gratuitement en passant par les lignes de l'opérateur AT&T (Blue Box). Cela ne peut en aucun cas devenir un produit de masse, mais quelque 200 exemplaires trouvent tout de même preneur — ce qui n'est pas mal du tout au regard du tarif relativement élevé de 150 $.En 1973, les deux larrons tentent de manière concomitante de trouver l'emploi de leurs rêves. Wozniak, de son côté, rejoint HP (alors appelé couramment Hewlett-Packard), où il échoue toutefois à intégrer la division ordinateurs. Jobs, pour sa part, parvient à se faire embaucher chez Atari en dépit de ses études interrompues après un semestre. C'est ainsi que tous deux accumulent une expérience précieuse au sein de la toute jeune sphère high-tech. Une expérience qui les pousse, dès 1975, à s'intéresser à la conception d'ordinateurs. Malheureusement, les deux principaux processeurs du marché sont bien trop chers pour se lancer... Ce qui n'est pas le cas du MOS Technology 6502, commercialisé pour 20 $ et découvert par Wozniak dès sa sortie, en septembre 1975. Rapidement, l'homme tâte le terrain... et finit par se lancer dans la conception d'une machine construite autour de la puce. En mars 1976, l'ordinateur est au point.
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