Batterie Toshiba Satellite U300 |
Posted: November 2, 2014 |
Sur le papier, le Dell OptiPlex 9030 a tout d'un parfait ordinateur tout-en-un bureautique. Il possède un écran mat de 23 pouces, un processeur Intel Core i3 de dernière génération et se dote d'un clavier et d'une souris filaire. Son seul point faible pourrait provenir de son disque dur d'une capacité de seulement 500 Go. Voyons dans ce test s'il tient ses promesses. Dell a choisi de faire dans le basique avec un châssis tout en plastique noir mat. La finesse n'est pas non plus au rendez-vous, le châssis mesurant 58,6 mm d'épaisseur. On est loin des mensurations d'un iMac par exemple. Le clavier et la souris fournis sont fabriqués avec le même plastique noir que le châssis. Les touches du clavier sont parfaitement standards. La frappe ne pose aucun problème, le rebond est bon et le confort bien présent. La souris est ambidextre et très simple. Elle propose les boutons gauche et droit et une molette crantée à défilement vertical et horizontal. Pas de boutons Précédent / Suivant, si pratiques avec les navigateurs Internet.
Une partie de la connectique se situe sur la partie gauche de l'écran. On y trouve deux ports USB 3.0, un lecteur de carte SD et une sortie audio (Jack 3,5 mm femelle). Pour le reste, il faudra chercher derrière l'écran, pour trouver une prise micro (Jack 3,5 mm femelle), une prise RJ45, quatre ports USB 2.0 et un port VGA. On se demande encore pourquoi Dell n'a pas équipé sa machine d'une sortie HDMI... On trouve également un lecteur graveur de DVD sur la tranche droite. La connectivité sans fil est assurée par du Wi-Fi à la norme 802.11 b,g,n. Le signal est stable à 5 m avec -44 dBm et -62 dBm à 10 m. Le Bluetooth est assuré par une clé USB additionnelle. L'écran mat affiche une définition de 1600 x 900 px. Notre sonde a relevé une luminosité maximale de 256 cd/m² et un taux de contraste de 1017:1. Malgré sa faible luminosité maximale, on peut utiliser ce tout-en-un dans une pièce très lumineuse grâce au revêtement mat très efficace contre les reflets. Malheureusement les choses se compliquent lorsqu'il est question de colorimétrie. Le DeltaE (écart moyen entre les couleurs idéales et celles réellement affichées) est mesuré à 20,7 ! La température des couleurs est contenue à 7459 K (pour une norme fixée à 6500 K). On se demande encore comment Dell — premier vendeur de moniteurs au monde, on le rappelle — a pu passer à ce point à côté de la calibration de cet écran. Les haut-parleurs sont situés à l'avant de la machine, et vu son épaisseur on s'attendait à un son d'assez bonne qualité. Le résultat est décevant. Tant que le volume n'est pas trop élevé, l'écoute musicale se passe bien à condition de ne pas trop attendre de basses, mais dès que la barre de la moitié de la puissance est dépassée, la distorsion s'invite et gâche complètement l'écoute.
La configuration testée : La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i3-4150, 4 Go de mémoire, un chipset graphique Intel Graphics HD 4400 et un disque dur de 500 Go (5400 tr/min). Contrairement au reste du test, qui reste valable pour tous les OptiPlex, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances. Cet équipement offre à ce PC un indice machine de 111. Un indice qui peut paraître élevé pour une machine à base de processeur Intel Core i3, mais qui s'explique par le fait que ce dernier soit une version desktop et non pas mobile. Il offre donc des performances très correctes, équivalentes à celles d'un Intel Core i7 basse consommation, et autorise une large plage d'utilisations, du traitement de texte à la compression vidéo non intensive. Concrètement, il ne faut pas attendre de miracle de cette puce graphique, surtout dans la définition native de l'écran (1600 x 900 px). Nous conseillons donc de n'utiliser que les jeux du Windows Store et quelques jeux peu gourmands (Fifa 13, par exemple), en ajustant la définition et les niveaux de détails. Il convient cependant parfaitement au décodage de vidéos en HD. Consommation :
La configuration de ce nouvel iMac peut intégrer aux choix un processeur Intel Core i5 (quadricœur 3,5 GHz, Turbo Boost à 3,9 GHz) ou i7 (quadricœur 4 GHz, Turbo Boost à 4,4 GHz) de génération Haswell. Ils sont accompagnés de 8 Go de mémoire par défaut, avec possibilité de passer à 16 ou 32 Go en option. Les choix en matière de stockage sont également multiples avec de base un disque Fusion Drive — le SSHD façon Apple — de 1 To ou un SSD de 256 Go. Il existe aussi des options avec un disque Fusion Drive à 3 To, ou encore des SSD de 512 et 1 To. La partie graphique accueille dorénavant des puces AMD, avec comme premier choix la Radeon R9 M290X, qui se trouve être une R9 270 desktop, soit une HD 7870 qui commence à dater. Celle-ci peut être remplacée par une R9 M295X — une carte qui n'a pas encore été officiellement annoncée par AMD, mais on suppose qu'elle pourrait intégrer une puce Tonga comme sur la R9 285 desktop. D'un point de vue esthétique, le modèle Retina n'apporte aucun changement par rapport aux modèles précédents.On reste donc sur un châssis monobloc en aluminium, bombé à l'arrière pour apporter une impression de finesse. La connectique se compose quant à elle de 3 ports USB 3.0 et de deux ports Thunderbolt 2. Le plus gros changement vient donc de la dalle 5K, qui affiche une définition de 5120 x 2880 pixels, soit 14,7 millions de pixels. A notre connaissance, un seul autre écran affiche une telle définition, il s'agit du Dell UltraSharp 27 pouces. On peine à voir quelles applications grand public pourront pleinement utiliser cette définition gargantuesque, qui pourra en revanche être plus utile pour les professionnels de l'image. Le nouveau Mac mini est dès maintenant proposé en trois configurations différentes. La première se dote d'un processeur Intel Core i5 Haswell avec des fréquences de base de 1,4 GHz, accompagné de 4 Go de mémoire vive et d'un disque dur mécanique de 500 Go. La seconde version voit les fréquences de l'i5 passer à 2,6 GHz, il est accompagné de 8 Go de mémoire et d'un disque dur de 1 To. La dernière et plus puissante des déclinaisons voit les fréquences de son processeur grimper à 2,8 GHz. La quantité de mémoire reste à 8 Go, tandis que le disque dur passe à la technologie Fusion Drive — SSHD à la sauce Apple — ou à un SSD de 256 Go en PCIE, au choix.
Pour la plus petite des trois configurations, on peut choisir en option 8 Go de mémoire (100 €) ou 16 Go (300 €) et un disque dur Fusion Drive de 1 To (250 €). Pour les deux autres versions, on peut sélectionner un processeur i7 à 3 GHz (300 € pour la configuration intermédiaire et 200 € pour la dernière), 16 Go de mémoire (200 €). Les disques durs disponibles sur la seconde version sont le Fusion Drive à 1 To (200 €) et un SSD de 256 Go (200 €). Pour la plus puissante, on peut choisir entre un SSD de 512 Go en PCIE (300 €) et un SSD de 1 To (800 €). Comme on peut le voir ci-dessus, la connectique évolue peu, tandis que les dimensions restent les mêmes. On reste donc sur une brique de 197 mm de côté pour une hauteur de 36 mm, avec 4 ports USB 3.0, un lecteur de carte SD, un port HDMI, un port Ethernet, 2 ports Thunderbolt, ainsi qu'une entrée et une sortie audio au format jack. La disponibilité des nouveaux Mac Mini est immédiate avec un prix de 499 € pour la plus petite configuration, 699 € pour l'intermédiaire et 999 € pour la plus puissante. De type PLS, cette dalle offre ainsi une résolution de 217 pixels par pouces. C'est finalement le double de ce qu'offrait la version précédente et avec ses 2560 x 1440 px. Seul Dell avait, à notre connaissance, annoncé une telle définition sur du 27 pouces avec son UltraSharp 27 5K ; un écran annoncé à 2500 $. Aux mesures, notre sonde nous révèle une luminosité maximale de 430 cd/m² et un taux de contraste de 1170:1. De très bons résultats qui garantissent une bonne lisibilité dans la plupart des conditions.
La colorimétrie est également de bon niveau, avec un dE94 mesuré à 3. S'il s'agit de la valeur à partir de laquelle nous considérons les couleurs comme justes. On pouvait s'attendre à mieux, les versions 2013 descendaient sous la barre des 2. Nous sommes pointilleux ? Non, simplement exigeants avec une machine qui s'échange contre 2600 € au minimum. La température des couleurs est presque parfaite, avec 6700 K pour une norme à 6500 K, soit une infime dérive bleutée, quasi imperceptible à l'œil. Le gamma moyen s'établit pour sa part à 2,3, là où une valeur de 2,2 est attendue. Apple nous offre donc un bel écran avec cet iMac 27 5K Retina. Il ravira les professionnels de l'image et les utilisateurs exigeants (photo, vidéo, films...). Sur le plan du design, Apple ne touche pas à l'identité visuelle de son iMac. On se retrouve donc en face d'un tout-en-un intégralement constitué d'aluminium, avec un dos bombé et des bords très fins. Comme sur le modèle 21,5 pouces, l'ensemble profite d'une finition sans faille. On regrette juste que le cadre de l'écran soit toujours aussi large.
L'iMac est toujours accompagné d'un clavier Bluetooth et d'une souris Magic Apple Mouse. Les remarques que nous avions faites lors de notre test de 2012 sont toujours valables. La frappe est donc très agréable, mais l'on regrette un espacement toujours un peu juste entre les touches. Pour ceux qui le souhaitent, Apple propose également un clavier avec pavé numérique, sans surcoût, mais filaire. La souris reste désagréable, avec une préhension peu confortable et un fonctionnement désappointant, quelle que soit l'utilisation (bureautique, navigation Internet, etc.). Comme sur la version précédente, l'iMac 27 pouces Retina intègre quatre ports USB 3.0, deux ports Thunderbolt, un port RJ45, un lecteur de cartes SD et une prise casque. Une connectique largement suffisante pour la très grande majorité des utilisateurs, mais l'on regrette juste sa faible accessibilité à l'arrière de l'écran.Comme sur tous les iMac, il ne faudra pas s'attendre à trouver des fonctionnalités TV (pas de tuner TNT) ; un point faible par rapport à ce que proposent les concurrents du monde PC. La connectivité sans fil est bien sûr présente, avec le Wi-Fi 802.11ac et le Bluetooth 4.0. La force du signal Wi-Fi est assez stable, avec -47 dBm à 5 m, et -53 dBm à 10 m. Pas très malin ! Ils n’ont même pas vu la caisse et ont laissé tomber avant de prendre un téléphone portable. Malgré une peur rétrospective, la gérante de la pizzeria du Loup, quartier Saragosse à Pau, racontait ce mercredi avec un certain détachement le vol à main armée dont elle a été victime mardi soir. Sur les coups de 19h30, deux hommes, aux visages masqués (casque et cagoule), se sont présentés munis d’un couteau et d’un pistolet factice selon les premières constatations.
De véritables amateurs, semble-t-il, puisque leur butin, misérable, se résume finalement à un vol de téléphone. L’agression n’a duré que quelques minutes et aucun blessé n’est fort heureusement à déplorer. Une enquête, confiée à la police judiciaire, a été ouverte. Mais, ce mercredi soir, aucune interpellation n’avait été effectuée. Les gérants de la pizzeria du Loup n’ont pas pour autant interrompu leur activité, leur commerce restant même ouvert mardi soir, après les faits. Voilà 24ans que nous sommes là et ce n’était jamais arrivé, soupire la patronne des lieux.
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