Batterie Lenovo Thinkpad L510 |
Posted: February 8, 2015 |
Aujourd'hui, utiliser un sparadrap est synonyme de petits bobos mais demain? Dans le futur, il est fort possible que les sparadraps nous permettent de recharger nos appareils électroniques. Ce 4 février, un projet sud-coréen de sparadrap générateur d'électricité a remporté le Grand Prix Netexplo 2015, grand prix d'innovation désigné cette année par le vote des internautes et d'experts internationaux. Le Wearable Thermo-Element du Professeur Byung Jin Cho de L'Institut Supérieur Coréen des Sciences et Technologies (KAIST), est un sparadrap ultra fin qui convertit la chaleur du corps en électricité et permet de recharger de petits appareils électroniques. Convertir la chaleur en électricité n'est pas une nouveauté, certains de ces appareils ont déjà équipé des sondes spatiales à destination de Mars, rappelle l'inventeur coréen dans une interview au Monde. La prouesse ici, c'est d'avoir réussi à intégrer cette technologie sur un support petit, flexible et qui capte la chaleur du corps et pas celle du soleil.
Le professeur Cho envisage d'intégrer ses capteurs sparadraps à des vêtements pour permettre de recharger des objets connectés. Il pense notamment aux montres intelligentes et aux autres bracelets connectés utilisés pour calculer le nombre de pas, la qualité du sommeil ou les calories brûlées. Comme toutes les pistes ne sont pas promises au même avenir, chaque groupe fait avancer cinq ou six dossiers en parallèle. Une centaine d’écoutes ont lieu en permanence, ce qui nécessite plusieurs centaines de traducteurs. Dans l’affaire H., les neuf lignes téléphoniques ont été écoutées pendant cinq mois, ainsi que sept autres de proches de la famille. Tous les protagonistes ont été filés, photographiés en train d’échanger des enveloppes. « Depuis qu’on les surveille, la famille a géré une cinquantaine de dossiers », rappelle la chef d’enquête. Les H. exigeaient entre 6 000 et 8 000 euros pour monter un dossier. Moins s’il fallait seulement le compléter. Parfois, la demande de titre de séjour aurait pu être déposée telle quelle par le migrant, mais la filière obligeait à l’achat d’un « package » facturé entre 800 et 1 500 euros. C’est ce qui est arrivé à Yong Chen. « Je vivais en France depuis dix ans. Quand ma femme est arrivée, il y a deux ans, elle a voulu que je demande des papiers », explique-t-il, lors de son audition. Son épouse entre en contact avec le commercial de Jian H., qui lui vend seize feuilles de paye pour combler ses mois de travail au noir. S’y ajoutent automatiquement un accompagnement à la préfecture et une traduction. Le tout pour 1 000 euros. « Jian H., qui a le sens du commerce, explique à ses clients qu’il doit rémunérer un agent de la préfecture – ce qui semble exclu à l’issue des auditions –, une traductrice professionnelle – dont il ne dit pas que c’est sa fille. Tout ça lui permet de pratiquer des tarifs élevés… Et comme il n’y a pas de petit profit, il raconte aussi que le timbre fiscal coûte 600 euros pour obtenir un titre de séjour, alors que c’est dix fois moins », résume un enquêteur.
Chien détecteur de billets D’ailleurs, pour être sûr de mettre la main sur tout l’argent, dans ce monde où tout se paie en « cash », Erra, un chien détecteur de billets de banque, était à l’œuvre dès 6 h 20, le jour des interpellations chez les H. La commission rogatoire à peine lue, elle grattait déjà frénétiquement de ses pattes un meuble de salle de bain, un dessous de lit… toutes les caches à billets. Dans l’affaire H., l’enquête montre que la petite entreprise familiale a tenté d’élargir ses services à la venue en France. Un commerce assez lucratif puisque sur le marché parallèle, il faut compter 8 000 à 10 000 euros pour une entrée en France depuis la Chine. Ni l’enquête ni les auditions n’ont confirmé de cas avéré. En revanche, des liens avec la Chine se faisaient grâce à la mère de Jian H., qui réceptionnait l’argent sale en vue de la construction d’un complexe hôtelier à Hainan, la Hawaï chinoise. 35 000 euros avaient été envoyés en octobre 2014 et déjà, les devis étaient prêts. La famille H. devait arrêter ses choix début février puisqu’ils avaient prévu de s’y rendre pour fêter le Nouvel An, le 19 février. L’affaire sera jugée à Bobigny. Trois en un. Il ne s’agit pas d’un shampoing, mais de la société Sofratel qui se compose en réalité de trois entités. Il y a le métier d’origine de l’entreprise : les systèmes de sécurité, et d’alarmes. Sofratel a par exemple installé le système de vidéosurveillance de la ville de Cambrai. En 1985, Christian Vautrin crée cette société, seul. Aujourd’hui, ils sont deux cent cinquante salariés. Car, en trente ans, les activités se sont ajoutées : la gestion des boutiques dans les hôpitaux et surtout l’accueil téléphonique. « En 2003, on a séparé les activités, détaille le patron. Aujourd’hui, les trois activités sont équivalentes. »
C’est toutefois la troisième, l’activité plateforme téléphonique, qui va prendre son essor à Cambrai. Des bureaux alignés dans un open space ; des opérateurs avec un ordinateur et un téléphone. Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, cinq mille appels jour sont pris en charge par les quatre-vingt sept salariés de Sofratel. C’est ce que l’on appelle communément un call center. Mais attention, précise Christian Vautrin, Sofratel ne fait pas dans le télémarketing. « Nous, c’est de l’astreinte technique. Lorsque l’on reçoit l’appel, l’objectif n’est pas qu’il soit traité rapidement, mais qu’il soit bien traité. Par exemple, quand un immeuble a été soufflé à Douai (en 2010, NDLR), c’est nous qui avons géré les appels. On a vu pour le courrier. On s’est occupé du relogement, de la restauration. » Bref, Sofratel s’occupe, en cas de problème, d’envoyer un réparateur au locataire pour son chauffage ou son problème de fuite d’eau. Les bailleurs sociaux sont ainsi des gros clients. Et de nouveaux contrats se profilent dans les mois qui viennent, au point que Christian Vautrin table sur « trente à quarante embauches » d’ici deux ans. « Un nouveau client, c’est dix embauches », résume-t-il. Le futur plateau cambrésien est pour l’instant dimensionné pour cent postes. Avec un emménagement programmé au deuxième trimestre. Et on nous l’affirme, les salariés ne sont pas gênés par ce transfert à vingt kilomètres de là. « Je sais déjà depuis longtemps que l’on allait à Cambrai. Il y a quatre ans, M. Villain (maire de Cambrai) me proposait déjà d’intégrer de nouveaux locaux. On a donc essayé d’embaucher près de Cambrai. » Avant même son arrivée, l’emploi dans le Cambrésis a déjà donc bénéficié de l’effet Sofratel. Il est rigolo, Kaïley. Toujours le sourire accroché aux lèvres, comme sa tétine. Le petit Tourquenois est tranquille, à aller caresser les chats de l’appartement. Du haut de ses 21 mois, il pose devant l’appareil photo de Ludovic. Pas impressionné du tout par les flashs, le voilà qui tape la pose, une petite moue par-ci, un coup de dédain par là. Kaïley joue à cache-cache avec le photographe. Déjà une attitude de star mais sans se la jouer trop. Vite, les bras de maman sont un refuge chaleureux. Il ne faudrait pas se prendre trop au sérieux. Kaïley est un des onze finalistes qui, la semaine prochaine, se retrouveront à Paris pour tenter de décrocher le titre de bébé Cadum de l’année.
Pas vraiment de concurrence Le jury se décidera mercredi. Son vote comptera pour 50 %, les internautes (ayant encore jusqu’au 8 février pour voter) compteront pour les autres 50 %. « Il n’est pas seulement question de beauté du visage, mais aussi de postures, de l’attitude de l’enfant. » Et là, le petit bonhomme est plutôt doué. Ils ont déjà gagné un portrait signé Harcourt. Ce n’est pas le prix de 1 000 € de jouets et d’autres produits Cadum qui intéresse le plus le couple de parents, juste qu’ils sont fiers de leurs bébés. Et puis, ils ont droit à une journée en famille à Paris et ont surtout noué des contacts avec les autres parents. « On a hâte de les retrouver là-bas, mardi soir. On ira voir la tour Eiffel avec les petits pour leur première visite à Paris. » Installés à Belencontre dans les nouveaux appartements, Marie et Jessy, les parents, sont ravis et constatent que leurs deux autres enfants de 3 et 4 ans ne sont pas jaloux. Marie est aide-soignante auprès de personnes atteintes d’Alzheimer. « C’est un peu comme avec les enfants, il faut leur parler avec beaucoup de douceur, d’amour et d’affection. » Et puis, les grands yeux et le sourire de Kaïley sont déjà un très beau cadeau.
Vous allez me dire : C’était déjà le pourquoi de samedi dernier, et vous avez raison. Samedi dernier, j’expliquais que la pomme du logo est croquée en référence à l’anglais Alan Turing, héros du film Iimitation game, génial mathématicien anglais qui a réussi à décrypter le code secret de la machine Enigma des nazis pendant la seconde Guerre Mondiale. On considère que Turing a inventé l’ordinateur et l’informatique. Quel rapport avec Apple ? J’y viens. Turing était gay, ce qui était un délit dans l’Angleterre des années 50. La justice britannique l’a condamné à la castration chimique. Plutôt que subir cette humiliation, il préféra se suicider en 1954, à 42 ans, en mordant dans une pomme empoisonnée au cyanure, comme Blanche-Neige qu’il adorait. En fondant Apple, Jobs et Wozniak lui rendirent cet hommage : leur pomme porte la mortelle morsure.
A moi de citer mes sources. Elles viennent du magazine Clés dirigé par Patrice Van Erseel, un ancien du magazine Actuel. Cela a son importance, car il tient cette histoire du fondateur du magazine, Jean-François Bizot, qui connaissait Steve Jobs et qu’il avait justement interrogé à ce sujet. Jobs a dû lui en parler à la fin des années 80 ou début des années 90. Bizot avait-il mal compris ou l’avons-nous mal compris, ou bien Jobs s’est-il amusé à lui faire croire un hoax (un bobard) ?
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