Batterie Lenovo 45N1025 Posted: October 17, 2014 |
HP devrait se scinder en deux, rapporte le Wall Street Journal. En discussion depuis 2011, la scission de la société entre PC/imprimantes et les solutions d'entreprise, plus rentables, est plus proche que jamais. Logo HP 2013La crise dans le monde du PC devrait amener HP à se scinder en deux. D'après le Wall Street Journal, le numéro un mondial de cette industrie jusqu'en 2013, année où il s'est fait voler la vedette par le chinois Lenovo, devrait se séparer en deux entités : l'une rassemblant ses activités PC et imprimantes et l'autre, ses produits dédiés aux entreprises. HP devrait procéder à une annonce ce lundi. Sur les neuf premiers mois de l'exercice fiscal 2014, la division ordinateurs et imprimantes s'est pourtant affichée en hausse de 2,8%. Cette embellie, passagère, provient en réalité de la branche PC, qui a profité de l'arrêt du support de Windows XP en avril, et a précipité le marché à renouveler son matériel. Mais en 2013, cette même branche PC avait cédé 10% de sa valeur sur un an, ce qui est plus révélateur du climat ambiant.
Chez HP, le sujet de la scission n'est pas récent. L'ancien PDG du groupe, Léo Apotheker, l'évoquait très sérieusement en 2011. Depuis cette date, le groupe américain a entamé un vaste plan de réorganisation. En mai dernier, HP annonçait la suppression de 16 000 postes, portant le total des coupes salariales à 34 000. En février, c'est le concurrent Dell qui annonçait 15 000 licenciements. Le texan est, comme HP, confronté au déclin du PC et au recentrage vers l'entreprise est les services - qu'il a choisi d'opérer hors de la bourse. La société rassemblant les activités entreprise de HP devrait être présidée par l'actuelle PDG du groupe, Meg Whitman. Quant à l'entité PC et imprimantes, elle serait dirigée par une administratrice et ancienne PDG d'Alcatel-Lucent, Patricia Russo. Les investisseurs interrogés par Reuters appellent naturellement de leurs vœux cette scission, qui permettra à HP de se débarrasser d'une activité aux marges insuffisantes pour eux : en juillet, les PC généraient 4% de marge, les imprimantes 18%, les serveurs 14 et les logiciels 21%. Comme attendu, HP a officialisé la scission de ses activités. On retrouvera d'un côté Hewlett-Packard Enterprise, dédié comme son nom l'indique aux professionnels, et de l'autre côté, HP, qui se concentrera sur le PC et l'imprimante. Prévu pour être finalisé avant la fin de l'année 2015, ce projet donnera naissance à deux entreprises toutes deux cotées en bourse. La direction de HP, en revanche, reviendra à Dion Weisler, un des responsables de cette activité au sein du groupe.
Le Coyote S est le successeur du « Nouveau Coyote », lancé il y a un an et demi. Ce nouveau modèle, qui reste complémentaire au Coyote Nav lancé entre temps, accueille notamment une caméra, filmant en HD à 120°. Installé face à la route, l'appareil peut donc servir de dashcam, de boîte noire. Il enregistre les 10 dernières minutes en continu et/ou lors d'un choc, pour servir de preuve ou au moins d'indice en cas de litige. Ce capteur permet aussi d'afficher les alertes en réalité augmentée, c'est-à-dire en surimpression de la route sur l'écran de l'appareil, qui passe d'ailleurs de 3,2 à 4 pouces. De quoi faciliter l'identification de l'emplacement d'un « danger » (en France), d'un radar (dans d'autres pays européens) ou d'une perturbation. L'écran reste tactile capacitif, il est même multipoint, mais le fabricant a rétabli des boutons physiques et voyants colorés. L'assistant autonome et les applications désormais alignés Coyote a profité de l'occasion pour renouveler ses applications mobiles et unifier les fonctionnalités avec son assistant d'aide à la conduite autonome. Le Coyote S accueille ainsi le mode carte jusqu'alors réservé aux smartphones tandis que les smartphones bénéficient du nouveau mode réalité augmentée. L'application est par ailleurs compatible MirrorLink, cette technologie qui permet de déporter l'écran du smartphone sur l'écran du tableau de bord. Le Coyote S est en vente dès aujourd'hui sur le stand Coyote du Mondial de l'Automobile à Paris. Il est vendu 200 euros aux nouveaux clients, 160 euros aux détenteurs d'un modèle précédent. Il sera autrement disponible à partir du 20 octobre auprès du fabricant.
Enrichir la réalité pourrait aussi se faire par le biais du toucher. NTT Docomo envisage au Ceatec une autre façon de transmettre des informations à l'utilisateur, avec un petit appareil en forme de manette qui bouge et se tord pour refléter une indication de direction ou la réception d'un message. Montres, oreillettes, lunettes, téléphones intelligents : tous ces dispositifs connectés permettent d'accéder à une information contextuelle enrichie en sollicitant les deux sens les plus évidents : l'ouïe et la vue. Pourquoi s'arrêter là, alors que la technologie permet désormais d'explorer d'autres voies ? Au Ceatec, l'opérateur japonais NTT Docomo a dévoilé cette semaine un appareil inédit baptisé Yubi qui, lui, s'intéresse au toucher. La forme du Yubi rappelle celle des manettes à détection de mouvement de la console Wii. Avec son revêtement doux, il tombe bien dans la main, et propose au pouce un emplacement dans lequel ce dernier vient se loger naturellement. Le secret du Yubi réside dans les quelques moteurs dissimulés dans ses entrailles : il sait en effet se tordre légèrement de façon à transmettre une information.Pour Docomo, le scénario d'usage le plus évident est celui de la navigation : plutôt que de suivre un itinéraire les yeux collés à l'écran du téléphone - risquant ainsi moult collisions, en plus de passer à côté de ce qui m'entoure, le Yubi va vibrer pour signaler qu'un changement de direction est à prévoir, puis se tordre légèrement vers la gauche ou vers la droite, selon le chemin que doit emprunter l'utilisateur. L'avantage de ce procédé haptique est double : la compréhension est immédiate, implicite, comme si quelqu'un vous tenait la main et vous tirait vers lui pour que vous le suiviez. Il est également adapté pour tous ceux dont la vue ou l'ouïe seraient défaillants.
Docomo imagine aussi que son Yubi serve à la transmission d'un signal entre deux personnes. Lorsque ma main serre le Yubi, l'utilisateur auquel je suis associé sent une pression dans sa paume et sait donc que je suis entré en contact avec lui. Une forme de communication non verbale, encore balbutiante sans doute, à laquelle s'intéresse aussi la première montre connectée d'Apple. En l'état, Yubi n'a pas encore vocation à être lancé comme un produit fini, mais Docomo espère que ses démonstrations susciteront un intérêt suffisant pour que naissent des scénarios d'usage plus poussés, lesquels motiveraient alors peut-être une commercialisation. Il faut le reconnaitre, côté design Garmin ne fait pas vraiment dans l'épuré. Le cadran est assez gros, les lignes manquent d'élégance. Le bracelet est plutôt court et ne conviendra pas aux poignets épais. Précisons tout de même, à la décharge de Garmin, que nous avons testé ici un modèle homme. De plus, les pièces d'attache sont en plastique plutôt qu'en métal, ce qui peut susciter une crainte quant à la solidité de la montre. Malgré tout, au bout d'un mois le bracelet tient toujours en place. Ce choix est sans doute dû à un souci de légèreté. Et de ce côté, Garmin a tout bon puisque l'objet n'est pas plus lourd au poignet qu'une montre normale. Au lancement, je dois renseigner mon poids, ma taille, mon sexe et mon âge afin de calculer par la suite le nombre de calories dépensées. La navigation passe par seulement trois boutons, le quatrième servant au rétroéclairage. Elle est très intuitive et agréable.
Qu'est-ce que ça donne en course ? Après environ une heure de chargement grâce à l'adaptateur fourni, la montre est à bloc. Ni une ni deux, je mets mes baskets et je file dans un parc pour voir ce que vaut la bête. Point positif : un gros bouton rouge permet de lancer directement une session de course. Plusieurs paramètres de course sont disponibles : il est possible de détecter les pauses pour interrompre le chronomètre, mettre en place des intervalles de course et de marche, et définir des objectifs physiques. Je peux configurer la montre en amont pour qu'elle m'alerte lorsque mon rythme cardiaque devient inquiétant, et même délimiter ma propre zone de fréquence cardiaque. J'ai pris le temps de régler tout ça avant la course, histoire de n'avoir qu'à lancer le chrono au parc. Mais ce n'est pas si simple : avant que je puisse partir en petite foulée, la montre doit détecter le moniteur de fréquence cardiaque qui me saucissonne la taille. Parlons-en de ce moniteur : un bandeau élastique muni d'un capteur en plastique au centre, à placer juste en-dessous de la poitrine. Les matières sont agréables à porter et ne grattent pas (même avec la transpiration). Le problème se situe plutôt au niveau de la tenue de l'engin. Je le règle au minimum pour être sûre qu'il tienne, je peux alors à peine respirer. Lorsque je le desserre, il glisse et je dois le remonter toutes les deux minutes, chose insupportable en course. Il faut donc accepter d'avoir la taille un peu compressée. Dommage lorsqu'on sait que la montre Tom-Tom Runner Cardio par exemple, est dotée d'un moniteur directement intégré au bracelet, qui permet d'éviter ces désagréments. La ceinture a cependant le mérite d'apporter des données extrêmement précises. Et maintenant, je peux partir ? Toujours pas ! La montre doit capter le signal GPS pour être en mesure de calculer mon nombre de kilomètres parcourus. J'attends patiemment, deux minutes, trois minutes... La barre de progression avance et recule de façon complétement irrégulière. Je m'écarte des grands arbres du parc : c'est déjà mieux. Le GPS met beaucoup de temps à me situer, mais je peux par la suite courir à côté des arbres sans rencontrer de bug. C'est parti ! Un coup d'œil régulier sur la montre m'indique depuis combien de temps je cours et la distance que j'ai parcourue. Honnêtement, je ne suis pas du genre à décoller les yeux du bitume lorsque je fais du jogging. C'est donc un plaisir de constater que la montre émet un signal sonore à chaque kilomètre franchi. Je peux faire défiler les données pour avoir accès au nombre de battements de cœur par minute.
Je finis ma course en enlevant précipitamment le moniteur cardiaque et en retrouvant le plaisir de respirer. C'est le moment du débriefing : une fois mes données enregistrées, je peux y accéder facilement via l'historique de la montre. Je retrouve le temps et la distance parcourue, et je découvre le nombre de calories dépensé, le nombre de battements de cœur par minute et le kilométrage par heure que j'ai atteint. La mémoire ne dépasse pas les sept courses enregistrées. Au-delà de ce chiffre, les données les plus anciennes sont supprimées. Parlons-en de ce moniteur : un bandeau élastique muni d'un capteur en plastique au centre, à placer juste en-dessous de la poitrine. Les matières sont agréables à porter et ne grattent pas (même avec la transpiration). Le problème se situe plutôt au niveau de la tenue de l'engin. Je le règle au minimum pour être sûre qu'il tienne, je peux alors à peine respirer. Lorsque je le desserre, il glisse et je dois le remonter toutes les deux minutes, chose insupportable en course. Il faut donc accepter d'avoir la taille un peu compressée. Dommage lorsqu'on sait que la montre Tom-Tom Runner Cardio par exemple, est dotée d'un moniteur directement intégré au bracelet, qui permet d'éviter ces désagréments. La ceinture a cependant le mérite d'apporter des données extrêmement précises. Et maintenant, je peux partir ? Toujours pas ! La montre doit capter le signal GPS pour être en mesure de calculer mon nombre de kilomètres parcourus. J'attends patiemment, deux minutes, trois minutes... La barre de progression avance et recule de façon complétement irrégulière. Je m'écarte des grands arbres du parc : c'est déjà mieux. Le GPS met beaucoup de temps à me situer, mais je peux par la suite courir à côté des arbres sans rencontrer de bug. C'est parti ! Un coup d'œil régulier sur la montre m'indique depuis combien de temps je cours et la distance que j'ai parcourue. Honnêtement, je ne suis pas du genre à décoller les yeux du bitume lorsque je fais du jogging. C'est donc un plaisir de constater que la montre émet un signal sonore à chaque kilomètre franchi. Je peux faire défiler les données pour avoir accès au nombre de battements de cœur par minute.
Je finis ma course en enlevant précipitamment le moniteur cardiaque et en retrouvant le plaisir de respirer. C'est le moment du débriefing : une fois mes données enregistrées, je peux y accéder facilement via l'historique de la montre. Je retrouve le temps et la distance parcourue, et je découvre le nombre de calories dépensé, le nombre de battements de cœur par minute et le kilométrage par heure que j'ai atteint. La mémoire ne dépasse pas les sept courses enregistrées. Au-delà de ce chiffre, les données les plus anciennes sont supprimées. Toutes mes données sont affichées avec précision : mes historiques de pas, mes courses et leur parcours sur une carte, mes progressions... Je découvre même que des badges m'ont été attribués. J'en ai par exemple reçu un pour les 50 000 pas atteints, ou encore parce que j'ai couru sur plus de deux kilomètres. Ce système me donne envie de dépasser mes limites pour décrocher les autres trophées virtuels. Une fonction très développée d'enregistrement des parcours de course est disponible. J'ai ainsi accès aux trajets de mes anciennes courses, mais aussi aux parcours que les autres utilisateurs ont accepté de partager. C'est intéressant pour trouver un nouvel endroit où courir, mais l'utilité s'arrête là : la Garmin 15 ne propose pas d'enregistrer la course directement sur son interface, contrairement à d'autres montres plus chères de la marque.
Le site a une vraie utilité puisqu'il permet en plus de gérer un calendrier des entraînements. Plus qu'un compte-rendu des données, c'est surtout un tableau de bord de gestion du sport. Côté application, celle-ci se met automatiquement à jour une fois que la montre a été synchronisée à l'ordinateur. Concrètement, elle ressemble beaucoup à l'interface navigateur, à la différence que peu d'actions sont réalisables dessus. Elle me permet surtout de consulter mes progressions, au quotidien comme en course. De même que la version navigateur, elle est très facile à prendre en main. Je peux choisir quelles données je souhaite afficher sur la page d'accueil, afin de pouvoir vérifier les informations les plus importantes en un coup d'œil.
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