Batterie HP Mini 110 |
Posted: July 9, 2014 |
Le japonais Buffalo a annoncé hier le renouvellement de son disque dur Wi-Fi. Le nouveau MiniStation Air 2 répond notamment au LaCie Fuel. Buffalo met à jour le MiniStation Air, son premier disque dur Wi-Fi, qu'il a présenté il y a près de deux ans à l'IFA. Le nouveau modèle est plus esthétique et plus compact tout en rehaussant la capacité maximale. Il accueille en outre une nouvelle fonction intéressante. Le principe de base n'évolue pas : on retrouve un disque dur au format 2,5 pouces enrobé d'une connectivité Wi-Fi et d'une batterie. On s'en sert comme d'un disque dur externe USB 3.0 avec un ordinateur ou avec n'importe quel équipement prenant en charge un support de stockage USB, mais on peut aussi y accéder sans fil depuis un téléphone, une tablette, et désormais aussi depuis un téléviseur. En Wi-Fi, le MiniStation Air 2 reste accessible au travers des applications maison, mais dorénavant il l'est aussi via la norme DLNA. Il peut donc diffuser directement des contenus multimédias (vidéo, audio et photo) vers des téléphones ou tablettes équipés d'applications tierces, mais aussi et surtout vers un téléviseur Wi-Fi compatible DLNA, comme on en trouve de plus en plus, y compris en entrée de gamme. Il peut d'ailleurs diffuser trois flux HD en simultané.
En plus de la version 500 Go, on trouve maintenant une version 1 To. On retrouve le port USB 3.0 esclave, pour le relier à un ordinateur principalement et recharger sa batterie, ainsi que le port USB 2.0 qui permet de puiser dans sa batterie pour recharger un autre appareil. Il offre d'ailleurs une autonomie maximale de 12 heures ou peut recharger deux fois un iPhone. Pour encourager davantage les développeurs Web à adopter le design responsive, Google a publié un ensemble de modèles disponibles au téléchargement. A l'ère Post-PC, les sites internet sont consultés non seulement sur l'ordinateur mais également sur plusieurs smartphones et tablettes arborant des diagonales différentes. Les pages ainsi que leurs contenus devront donc s'adapter dynamiquement à la définition de l'écran. Google favorise d'ailleurs au sein de son moteur l'indexation des sites responsive. La firme californienne a publié cette semaine son Web Starter Kit. Concrètement il s'agit d'une page HTML présentant divers éléments qui seront automatiquement redimensionnés selon le terminal utilisé par l'internaute. Les développeurs disposeront d'un point de départ pour intégrer un tableau, un agencement multi-colonnes, des boutons de navigation, des listes ou encore différents éléments que l'on retrouve au sein des magazines (mise en avant de contenus...). Bien entendu, Google n'est pas la première société à proposer de tels outils. Parmi les plus populaires notons Bootstrap, Foundation, YUI, Pure ou HTML5 Boilerplate Pour mémoire en octobre 2013, Google avait publié le logiciel Web Designer beta ciblant principalement les besoins des annonceurs souhaitant développer des publicités en responsive. Mozilla entend rafraichir la boite de commentaires que l'on retrouve sur divers blogs et magazines sur Internet afin de responsabiliser davantage les internautes. En publiant leurs opinions et leurs avis au bas d'un article, les lecteurs d'un magazine contribuent à enrichir un sujet en partageant leurs expériences et en créant divers débats. Toutefois, Mozilla perçoit plusieurs problèmes et notamment lorsque certains - au-delà du fameux Troll - publient des messages déplacés à caractère raciste, fasciste ou sexiste pouvant même parfois porter atteinte à la réputation d'une publication.
Mozilla annonce alors avoir signé un partenariat avec le New York Times et le Washington Post pour concevoir un nouveau système de commentaires. Ces travaux seront financés par la Knight Foundation à hauteur de 3,89 millions de dollars. « Et si les lecteurs pouvaient gérer leur identité en ligne ainsi que leurs contributions sur plusieurs sites d'actualité avec un même identifiant ? Et s'ils pouvaient contribuer leurs images, leurs liens et même leurs propres articles », explique ainsi la fondation Knight sur son blog officiel. Mozilla ajoute que le mécanisme devrait permettre à chaque lecteur de suivre une discussion tandis que les éditeurs seront en mesure de récupérer et d'utiliser ces contenus afin d'enrichir un sujet. Il en résulterait un système de commentaires proche du réseau communautaire. Bien entendu ces travaux seront disponibles en open source. Mozilla n'est pas la seule société à vouloir repenser le mécanisme de commentaires. Les sociétés Disqus ou LiveFyre (implémenté depuis peu sur Clubic) tentent également de se différencier avec plusieurs fonctionnalités. nnoncée il y a déjà quelques jours, la sortie de Dead Rising 3 s'est brusquement précisée hier avec le lancement des grandes promotions estivales de Steam. En effet, Capcom a profité de l'occasion pour lancer les précommandes du jeu au travers d'une offre promotionnelle à -25%. Logiquement, l'éditeur a également indiqué que la sortie du jeu sera effective le 5 septembre prochain et au travers d'un message sur Steam Community, il a tenu à revenir sur la polémique des 30 images par seconde. Contrairement à ce qu'évoquaient certaines rumeurs, il n'est pas question de limiter la vitesse d'animation de la version PC. Capcom insiste sur le fait que le jeu a été développé avec les 30ips en tête, mais qu'il est tout à fait possible d'aller plus haut sans rencontrer de problème. Histoire d'illustrer ses propos, l'éditeur diffuse deux vidéos de gameplay tournant à 60ips avec activation de la synchronisation verticale. Autour du football s'articule un marché exceptionnel. Les droits TV, les montants des transferts, les sommes investies sont de plus en plus importants, à l'image d'un engouement indéfectible autour des meilleurs championnats ou d'événements planétaires comme la Coupe du Monde. Lors de la finale en 2010, ce sont près de 700 millions de téléspectateurs qui étaient devant leur poste.
Ces enjeux d'envergure nécessitent une structuration profonde, particulièrement au niveau des clubs de football, devenus petit à petit de véritables entreprises à part entière, avec des problématiques communes à toute société : rentabilité, compétitivité, rationalisation des coûts. La glorieuse incertitude du sport est, dans cette optique, un aléa dont il faut se prévenir au mieux. Le recours à l'outil statistique est alors l'arme vers laquelle se tournent les clubs, comme le font de milliers d'autres entreprises. De là à faire du sport une activité quasi scientifique... Ces chiffres n'intéressent d'ailleurs pas que les clubs : à l'heure du « big-data », la collecte et la mise en forme d'une grande quantité d'informations constituent une activité qui trouve d'autres débouchés. Les médias, qui cherchent à apporter une nouvelle expérience à une audience toujours plus exigeante, sont des clients naturels, tout comme le sont les annonceurs. Notamment. L'objectif ici : faire consommer le sport autrement, sous des angles innovants. Deux entreprises ont bien compris ces enjeux et profitent de ce secteur en pleine croissance. Opta, propriété du groupe Perform, affiche un chiffre d'affaires supérieur à 10 millions d'euros depuis plusieurs années. Son concurrent, Prozone, a uni ses forces avec le groupe Amisco, pionnier dans le domaine de l'analyse de performances. Les résultats de cette entreprise sont comparables à ceux d'Opta. De la récupération de ces données à leur monétisation, nous allons tenter de vous expliquer comment ces acteurs et les statistiques sont désormais profondément ancrés dans le football. es rumeurs disaient-elles donc vrai ? Une documentation officielle rédigée par Microsoft fait référence plusieurs fois à une Surface Mini. Au mois de mai, Microsoft a tenu une conférence à New York. Si l'on s'attendait à ce qu'une annonce soit formulée sur une nouvelle tabletteTablette Surface de 8 pouces, c'est finalement la Surface Pro 3 et sa dalle de 12 pouces qui a été dévoilée. Quelques jours plus tard, le magazine Bloomberg rapportait que la Surface Mini était bel et bien finalisée. Toutefois le PDG de Microsoft Satya Nadella et le vice-président exécutif Stephen Elop auraient décidé de l'abandonner au dernier moment, le produit n'étant pas jugé assez différenciant sur le marché. Autour du football s'articule un marché exceptionnel. Les droits TV, les montants des transferts, les sommes investies sont de plus en plus importants, à l'image d'un engouement indéfectible autour des meilleurs championnats ou d'événements planétaires comme la Coupe du Monde. Lors de la finale en 2010, ce sont près de 700 millions de téléspectateurs qui étaient devant leur poste. Ces enjeux d'envergure nécessitent une structuration profonde, particulièrement au niveau des clubs de football, devenus petit à petit de véritables entreprises à part entière, avec des problématiques communes à toute société : rentabilité, compétitivité, rationalisation des coûts. La glorieuse incertitude du sport est, dans cette optique, un aléa dont il faut se prévenir au mieux. Le recours à l'outil statistique est alors l'arme vers laquelle se tournent les clubs, comme le font de milliers d'autres entreprises. De là à faire du sport une activité quasi scientifique...
Ces chiffres n'intéressent d'ailleurs pas que les clubs : à l'heure du « big-data », la collecte et la mise en forme d'une grande quantité d'informations constituent une activité qui trouve d'autres débouchés. Les médias, qui cherchent à apporter une nouvelle expérience à une audience toujours plus exigeante, sont des clients naturels, tout comme le sont les annonceurs. Notamment. L'objectif ici : faire consommer le sport autrement, sous des angles innovants. Deux entreprises ont bien compris ces enjeux et profitent de ce secteur en pleine croissance. Opta, propriété du groupe Perform, affiche un chiffre d'affaires supérieur à 10 millions d'euros depuis plusieurs années. Son concurrent, Prozone, a uni ses forces avec le groupe Amisco, pionnier dans le domaine de l'analyse de performances. Les résultats de cette entreprise sont comparables à ceux d'Opta. De la récupération de ces données à leur monétisation, nous allons tenter de vous expliquer comment ces acteurs et les statistiques sont désormais profondément ancrés dans le football. L'actualité de cette semaine a été marqué par 2 affaires concernant des demandes de rançon. La première concerne une demande de rançon faite cette semaine suite au piratage de l'infrastructure technique de Domino's Pizza. L'affaire a été rendue publique rapidement et la société a fait savoir qu'elle ne paierait pas. Pourquoi des disparités dans la manière de gérer ce type de crise ? Que faut-il faire à votre avis suite à une demande de rançon ? Comment s'y prennent les pirates ? Voilà quelques questions qui font partie de notre sondage. La multiplication des services en ligne a fait de notre navigateur le logiciel central de nos activités sur ordinateur. Cependant celui-ci mérite parfois d'être aidé, amélioré. Pour ce faire, les extensions sont des armes redoutables. La rédaction vous propose dans cet article de découvrir un échantillon de ses préférées.
Il serait certainement étonnant (voire impressionnant) de calculer puis de mettre en rapport le temps que chacun passe sur son ordinateur et celui passé sur son navigateur ; d'autant plus si on s'adresse à des journalistes high-tech. Alors, fatalement, cela force à essayer d'optimiser un tant soit peu ses usages qui ne sont d'ailleurs pas tous professionnels. Pour ceux qui n'auraient pas lu la brève que Clubic lui a consacrée au début du mois, Pepper (poivre) est un petit bonhomme de 120 cm de haut, monté sur roulettes (parce que ça consomme moins d'énergie que des jambes), avec un iPad en guise de ventre, une tête avec deux yeux, deux bras, deux mains. Sa principale faculté est de savoir tenir compagnie à un humain en discutant et en le renseignant au besoin. Une partie de l'intelligence de Pepper se trouve en réseau, ce qui permet de l'enrichir plus facilement et de lui donner d'emblée des facultés de compréhension que des semblables ont acquises avant lui. Selon le patron de SoftBank, Masayoshi Son, Pepper a une capacité toute particulière pour décrypter les sentiments et émotions de son interlocuteur, un élément essentiel dans une conversation. Il serait surtout capable de comprendre 80% d'un dialogue en japonais ! Quelques vidéos sur internet de clients qui sont allés le voir dans les deux boutiques de SoftBank où il est installés plaident en ce sens, saut que l'on a aussi la sensation que Pepper oriente la discussion dans le sens qui lui plaît, autrement dit entraîne l'interlocuteur dans son aire de connaissances. Il n'empêche qu'il ne manque pas d'humour. Pepper, qui avait déjà été la star d'une conférence de presse au début du mois, était aussi l'invité-vedette de l'assemblée générale des actionnaires de SoftBank vendredi 20 juin et même d'un grand programme d'informations avec Masayoshi Son. Masayoshi Son et Pepper se sont entretenus plusieurs minutes pour distraire l'assistance de près de 4.000 personnes avant que le premier ne fasse l'éloge du second qui peut paraît-il tenir compagnie aux humains 10 à 12 heures d'affilée, selon M. Son. Nous voulons offrir un robot qui ait une âme, comprenne les sentiments de son interlocuteur, a insisté le patron qui considère que l'arrivée des robots dans l'environnement humain sera une énième révolution comparable à celle que fut l'ordinateur personnel.
Pepper sait notamment déjà comprendre quand quelqu'un est content, triste ou en colère. De plus, plusieurs Pepper peuvent mutuellement se transmettre ce que chacun a appris. Concrètement, il peut faire la lecture aux enfants et dire ensuite à la mère de famille comment cela s'est passé, mais c'est un des rares exemples donnés pour le moment par ses concepteurs. Si bien qu'on ne sait pas trop ce que sa faculté à se déplacer, à remuer ses bras ou doigts lui confère comme fonction réelle si ce n'est celle de danser. Pepper bouge pour rendre les gens heureux, se explique le patron de SoftBank qui ajoute que Pepper peut rendre de grands services à une mère très occupée pour distraire les enfants en bas âge pendant qu'elle fait la cuisine ! Le but de SoftBank est de faire le bonheur des gens grâce à la révolution de l'information, a insisté le gourou nippon du secteur. Le fait est que le Japon est le pays idéal pour les robots personnels dotés d'une sensibilité humaine (ou de ce qui y ressemble un peu), puisque les Nippons prêtent volontiers une âme aux objets, ce qui est encore plus facile quand ils sont semi-androïdes et capables de parler. A un actionnaire qui demandait si Pepper ne pouvait pas aussi devenir vendeur d'Uniqlo (dont le patron est aussi administrateur de SoftBank), M. Son ont promis d'y songer, sachant que le premier emploi de Pepper est d'accueillir les clients de boutiques de SoftBank. Pepper sera proposé aux particuliers en février prochain pour environ 200.000 yens (1.400 euros) et certains participant ont souhaité qu'il soit vite commercialisé, implorant même un droit prioritaire pour les détenteurs d'actions SoftBank. Pourquoi une société française peu connue en son propre pays finit-elle par réussir à imposer son robot dans un pays qui se considère justement comme le maître du monde en la matière ? Eh bien la réponse est simple: parce que le groupe SoftBank, qui a des têtes-chercheuses un eu partout et veut mettre la main sur toutes les technologies qu'il juge intéressantes sans considération d'origine, a repéré Aldebaran grâce à Nao, s'est dit qu'il y avait là un potentiel réel et en a conclu qu'il pouvait s'offrir cette innovante firme. Et c'est ainsi qu'Aldebaran est devenue en 2012 une société du groupe SoftBank, lequel lui donne sans doute les moyens techniques, financiers et commerciaux qu'aucun groupe hexagonal ne lui aurait sans doute accordés.
Les Japonais auxquels Pepper a été présenté l'on d'emblée adopté (et appelé Pepper-kun, le suffixe donné aux prénoms de jeunes garçons). Ils n'imaginent pas une seconde que Pepper soit né en France (il est en revanche fabriqué par le groupe taiwanais Foxconn): pour eux c'est une pure création japonaise signée SoftBank (et il faut dire que la communication du groupe le laisse facilement croire). Heureusement d'ailleurs qu'ils pensent que Pepper est japonais, parce que sinon ils seraient carrément déprimés et anéantis, déjà qu'ils sont sidérés que ce soit SoftBank et non pas Sony qui propose ce genre de produit. Souvenez-vous en effet que Sony avait été pionnier et avait peut-être même eu tort d'avoir raison trop tôt avec Aibo puis Qrio. Sony a jeté l'éponge il y a quelques années en estimant qu'il n'y aurait pas de marché de masse pour les robots personnels. SoftBank fait clairement le pari inverse.
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