Batterie HP HSTNN-UB0W |
Posted: October 30, 2014 |
Version moderne de la disquette, la clef USB s'est imposée durant les années 2000 comme le nouveau moyen simple pour échanger ou transporter des données d'une machine à une autre. Un concept simple qui s'est largement répandu auprès du grand public, et qui a vu fleurir des gammes larges ou le design et le côté mode ont souvent beaucoup plus été mis en avant que les performances des produits. Si l'USB 2.0 a longtemps été un frein aux performances – expliquant en petite partie le virage évoqué précédemment – l'arrivée de l'USB 3.0 dans les cartes mères a petit à petit ravivé leur question. Avec une vitesse théorique maximale de l'interface autour de 500 Mo/s (dix fois plus que l'USB 2.0), la porte ouverte à la variabilité des performances d'un modèle de clef USB 3.0 à l'autre est particulièrement grande ! Qui plus est, lorsque l'on se penche sur la technique, une clef USB est conceptuellement proche d'un SSD moderne. On y retrouve une ou plusieurs puces de mémoire flash de type NAND, et un contrôleur. Ce dernier gérant d'un côté les puces mémoires, et de l'autre une interface vers la machine (SATA dans le cas d'un SSD, USB 3.0 pour nos clefs). Avec l'augmentation de la bande passante de l'USB 3.0 et la standardisation du protocole UASP (qui permet de faire transiter des commandes SATA par l'USB, voir page suivante), cette proximité technique n'est plus si farfelue.
Dans tous les cas en pratique, on retrouvera des critères semblables qui influeront sur les performances, que ce soit le modèle et la qualité des contrôleurs utilisées, ou plus classiquement le type et la quantité de dies mémoires utilisés. Comme nous le verrons pour chaque constructeur, on retrouve parfois des doublons dans les gammes - pour des raisons esthétiques ou pratiques – que nous avons mis de côté dans nos sélections. Notez également qu'a l'image des gammes de SSD, les performances que nous avons relevées sur les modèles 128 Go ne sont pas transposables directement aux modèles de tailles inférieures ou supérieures, particulièrement lorsqu'il s'agit des performances en écriture ! Avant de nous plonger dans les gammes, revenons un instant sur le fonctionnement de l'USB 3.0 et ses particularités. 3500 rpm… Voilà bien longtemps que nous n'avions pas testé un ventilateur 120mm aussi rapide ! De quoi rappeler de doux souvenirs aux oreilles des utilisateurs du ventirad stock fourni avec feu le Pentium D, par exemple, ou d'émouvoir les utilisateurs férus d'overclocking ! C'est néanmoins la vitesse de pointe de l'Enermax Twister Storm que nous allons tester aujourd'hui. Rassurez-vous, il est doté d'un petit sélecteur (autrement nommé SSC pour Shift Speed Control) qui permet de sélectionner (de manière fort efficace et sans effet sur sa tension de démarrage, soit dit en passant, celle-ci restant à 4,5V quelle que soit la plage de vitesse sélectionnée), ou plutôt de brider le Twister Storm à une vitesse maximale de 1500 rpm, 2500 rpm, ou 3500 rpm, bien entendu.
Les lecteurs les plus attentifs auront remarqué que le ventilateur présenté sur l'illustration est légèrement abîmé. Il ne s'agit là que d'une légère maladresse de votre serviteur, heureusement survenue après la réalisation des tests. En dehors de cela, le Twister Storm est un ventilateur plutôt classique, du moins par son design. Il est doté d'un câble d'alimentation (long de 50cm) non gainé mais aux fils collés. Ceux-ci sont d'une section très légèrement plus importante que ce que l'on trouve habituellement sur des ventilateurs aux vitesses de pointe plus «raisonnables», probablement pour mieux encaisser la consommation maximale, qui s'élève à 1,30A annoncés, soit 15,6W…vérifiez bien que la prise sur laquelle vous branchez le Twister Storm peut supporter une telle puissance ! Nous avons pour notre part relevé une consommation maximale de 1,15A sur la position «3500 rpm», 0,4A sur la position «2500 rpm», et 0,23A sur la position «1500 rpm». Enermax a de plus bien fait les choses et doté son ventilateur d'une électronique suffisamment intelligente pour tempérer les appels de courant au démarrage du ventilateur, nous n'avons ainsi jamais mesuré plus de 1,15A au cours de nos différents tests. Le Twister Storm utilise une évolution du bien connu Twister bearing d'Enermax, insensible à sa position de fonctionnement, et donné ici pour un MTBF de plus de 160000h, ce qui est plus qu'appréciable pour un ventilateur aussi rapide. Au niveau du bundle, pas de superflu, avec 4 vis, 4 fixations souples, et un adaptateur molex. Autre ventilateur Enermax testé aujourd'hui, le Twister Pressure reprend le principe du petit sélecteur -nommé ici APS pour Adjustable Peak Speed- pour en contrôler la plage de vitesse, au choix entre 500-1200 rpm, 500-1500 rpm, et 500-1800 rpm.
Cousin pas si éloigné du ventilateur fourni avec les Watercooling all-in-one de la marque (Liqtech 120S, 120X et 240), le Twister Pressure est donc un ventilateur PWM, optimisé pour un usage sur ventirad ou radiateur, grâce à un design de pales censé procurer un flux d'air plus concentré. Il reprend le Twister Bearing nouvelle génération du Twister Storm, pour un MTBF de 160000h (et qui permet au passage de détacher les pales, si le besoin s'en fait sentir), un câble joliment gainé long de 50cm, et un bundle simple mais suffisant (4 longues fixations souples et un adaptateur molex). Plus raisonnable que celle du Twister Storm, sa consommation maximale est donnée pour 0,30A, mais nous n'avons pas relevé plus de 0,16A au cours de nos tests. Dernier point important avant de passer aux résultats obtenus à l'aide de notre protocole de test habituel, le Twister Pressure est garanti 1 an et disponible pour environ 10€. Nous n'avons pas encore d'information sur le prix de vente du Twister Storm, ni sur la durée de sa garantie. Hors restriction, l'équilibrage n'est pas vraiment le point fort des ventilateurs Enermax, et même si cela reste assez subtil, divers bruits parasites se manifestent par moment, mais il suffit d'augmenter ou de diminuer légèrement la vitesse de rotation pour les faire disparaître. Le Twister Pressure n'arrive pas à égaler notre ventilateur de référence, même si il s'en rapproche à haut régime, la faute entre autre à un moteur qui se manifeste un peu trop bruyamment à notre gout. De manière surprenante, le Twister Storm sur la position minimum de son sélecteur de vitesse s'est montré étonnamment convainquant, si l'on pardonne sa faiblesse relative à bas régime, là encore par la faute d'un moteur qui manque un peu de discrétion. Sur la position maximum de son sélecteur de vitesse, le Twister Storm prend une toute autre dimension. Nous n'avons pas de comparaison valable à lui opposer, mais ses performances aérauliques sont impressionnantes, avec plus de 100 CFM mesurés sur notre plate-forme de test. Malheureusement, cela va de pair avec un bruit très élevé, et une sonorité plutôt aiguë… le Twister Storm porte bien son nom, et à sa vitesse maximale, on a quelque peu l'impression de se trouver à coté d'un aspirateur en marche !
Une fois placé sur radiateur, les bruits parasites du Twister Storm ressortent encore plus, comme on peut le voir sur ses courbes en dent de scie. Il suffira cependant d'augmenter ou de diminuer légèrement la vitesse de rotation pour les atténuer. Passons rapidement sur les performances du Twister Pressure, finalement assez décevantes face à notre ventilateur de référence, malgré un design de pales censé être optimisé pour un usage sur radiateur. C'est donc surtout sur ce point que se trouvera l'intérêt du Twister Storm, alors que le Twister Pressure nous a pour sa part semblé manquer singulièrement d'intérêt, malgré ses intentions affichées pour une utilisation sur radiateur.
Baptisée Warty Warthog, Ubuntu 1.0 vit le jour le 20 octobre 2004. Celle-ci embarquait environnement de bureau GNOME en version 2.8. Canonical mettait alors à disposition des CD d'installation. Depuis, les travaux ont largement évolué et plus d'une quinzaine de versions ont été publiées. L'histoire du système Ubuntu est un peu particulière. C'est en orbite, depuis la Station spatiale internationale, que Mark Shuttleworth, le fondateur et ex-PDG de Canonical, eut l'idée de créer un système d'exploitation universel. Interrogé par nos soins à ce sujet en 2009, l'homme expliquait ainsi : La Grande-Bretagne pourrait sévir à l'encontre des cyber-harceleurs sur Internet. Dans une proposition de loi, le gouvernement veut quadrupler la peine encourue, à 2 ans de prison. Autant qu'en France. « Les trolls d'Internet sont des lâches qui empoisonnent la vie de la nation. » Ces propos, ceux du secrétaire d'Etat à la Justice britanniqueChris Grayling, ont été rapportés au journal Mail on Sunday et permettent de mesurer l'état de ras-le-bol du gouvernement, suite à plusieurs cas de harcèlement en ligne très médiatisés. Alors celui-ci veut sévir. Il propose de quadrupler la peine d'emprisonnement maximale encourue à 2 ans. Le secrétaire d'Etat d'expliquer que cette loi vise à « combattre la cruauté et marquer notre détermination à prendre position contre les meutes aboyant sur Internet ». Si l'acte de « troller », ou de provoquer, peut toucher à des sujets sans enjeu éthique comme le débat qui déchire parfois les fans d'Apple et de Samsung, il arrive que la pratique verse dans le harcèlement moral, comme avec les parents de Maddie McCann. Le couple, qui avait perdu sa fillette lors de vacances au Portugal en 2007 a, pendant des mois, affronté une avalanche de messages de haine sur Twitter de la part d'une britannique sexagénaire. A la mère de l'enfant, la harceleuse lui écrivait par exemple : « Vous allez être haïs par des millions de personnes pour le restant de votre triste, malfaisante et malhonnête vie. Passez une bonne journée ! ». Questionnée sur ses motivations, Brenda Leyland, qui est décédée au début du mois d'octobre, répondait juste : « J'ai le droit de le faire. »
Deux ans de prison en France aussi Pour Chris Grayling, « personne ne tolèrerait que l'on distille un tel venin en personne, donc cela n'a pas non plus sa place sur les réseaux sociaux ». La Grande-Bretagne avait été sous le choc suite au suicide d'une adolescente de 14 ans en été 2013, qui avait reçu des messages extrêmement virulents publiés sur la plateforme anonyme de questions/réponses Ask.fm - l'enquête révéla que la jeune fille s'auto-harcelait. Mais les cas de harcèlement bien réels ne sont pas rares et ne sont pas limités à Ask.fm. D'après un récent rapport de l'Unicef, 12,5% des adolescents français ont déjà été victimes de ce genre d'acte. Facebook a lancé il y a un an une page pédagogique pour « mettre un terme au harcèlement ». Le réseau social permet aussi de bloquer et de signaler une personne. Sur Twitter et Ask.fm, un bouton de signalement a été mis en place. En France, le cyber-harcèlement, sanctionné par l'article 222-33-2-2 du Code Pénal, est condamné d'une peine pouvant aller jusqu'à 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende. Si ces actes sont commis à l'encontre d'un mineur âgé de moins de 15 ans, la peine peut atteindre 3 ans de prison, et 45 000 euros d'amende. L'application Gmail sur Android se mettra bientôt à l'heure de Material Design, la nouvelle interface utilisateur introduite par Google à l'occasion de la conférence i/O et couronnée par la sortie d'Android 5.0 Lollipop. Le blog spécialisé Android Police explique avoir récupéré un fichier apk de cette prochaine version ainsi qu'une vidéo de démonstration qui sera proposée aux utilisateurs effectuant la mise à jour. Gmail arbore ainsi une interface plus simple, de nouvelles icônes, des avatars arrondis et reprend donc les codes du flat design déjà adoptés par Microsoft et Apple.
Pour Google il s'agit bien sûr de faire de l'ombre à ses concurrents ayant également développé leur messagerie sur Android. Gmail est l'une des applications que les partenaires certifiés sont obligés de pré-installer sur leur terminaux.
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