Batterie Dell Latitude C640 |
Posted: June 11, 2014 |
Le constructeur taïwanais nous a présenté quelques nouvelles puces et un nouveau PC. C’est de ce dernier que nous allons parler. Il s’agit d’un ordinateur portable optant pour un écran de 15,6 pouces, équipé du processeur Core i3 Ivy Bridge basse consommation, fonctionnant sous la plateforme Intel Chief River et tournant sous Windows 8. Cet appareil porte le numéro X551 CA-SX308H, et présente un port HDMI, Bluetooth 4.0 et USB 3.0. L’extérieur est coloré en blanc et l’intérieur en argent/blanc, il est donc destiné pour un usage courant, peut aussi convenir pour un usage au bureau ou à la maison. Mais pour les caractéristiques, ce n’est pas tout, cet ordinateur portable d’Asus est doté d’un disque dur de 1000 Go de stockage. Il peut donc supporter beaucoup de choses ! Les caractéristiques Avec son port HDMI, il peut donc être relié à la télévision ou à un autre périphérique. Cet ordi peut aussi détecter deux USB à la fois : l’USB 3.0 pour transférer des fichiers rapidement et l’USB 2.0 pour une utilisation normale. Sinon, du point de vue de l’écran celui-ci qui est à 15,6 pouces, peut afficher une définition de 1 366 x 768, et est plutôt ergonomique, clair et lucide. Avec son processeur qui intègre une carte graphique Intel HD 4000, il peut afficher toutes sortes de photo et vidéo peu importe le format. Tout de même, les images ou vidéo 3D lui sont moins compatibles. Avec 4 Go d RAM, il peut être utilisé dans tous les domaines que ce soit pour surfer uniquement ou pour une utilisation bureautique. Cet ordinateur : « Asus X551 CA-SX308H » est, d’ores et déjà, disponible chez GrosBill pour un prix de 429 euros. Pour un prix de moins de 500 euros, pourquoi s’en priver ? Quitte à oublier qu'une réforme territoriale doit s'appuyer sur des paramètres démographiques, sociologiques et historiques, le chef de l'Etat aurait pu s'en remettre à un algorithme pour tracer la nouvelle carte des régions. Ça tombe bien : la société Data publica a inventé le Regionator 3000, un outil permettant de générer une carte selon le nombre de régions souhaitées. Et le résultat n'est pas plus consternant que le tracé décidé par François Hollande...
La réforme territoriale aurait pu rencontrer un large consensus. Mais il faut aujourd'hui se rendre à l’évidence. Si elle rassemble, c’est surtout contre elle. Les démographes poussent des cris d’orfraies. Les historiens hurlent à l’infamie. La presse régionale se déchaîne. Les élus locaux – jusque dans la Corrèze ! – tonnent contre un projet ni fait, ni à faire. C’est officiel, rien ne va plus, et on serait bien en peine de savoir comment tout cela va se terminer. Et si, plutôt que de devoir se terrer à l’Elysée en attendant que l’orage passe, Hollande, champion de France de la retraite en rase campagne, faisait appel à un algorithme chargé du redécoupage de l’Hexagone ? Qu’est-ce que cela aurait donné ? Une nouvelle boucherie assistée cette fois par ordinateur ? Ou un découpage plus raisonnée que celui du chef de l’Etat, s’appuyant sur les comportements économiques des Français ? Utilisant des données de l’Insee, la société Data publica a mis en ligne cette application permettant de générer une carte, qui présente le nombre de régions que vous souhaitez : 11, comme l’avait annoncé à l’origine Manuel Valls ; 14, comme l’a décrété Hollande… ou 2, pour ceux qui pensent au plus profond d’eux-mêmes que la France est divisée entre Paris et le reste du pays. Mais ce n’est pas tout. Cette équipe d’experts en « big data » (comprendre : en « données » en bon français) pousse le vice encore plus loin et donne même un nom à ces nouvelles régions. Adieu cette chère région Midi-Pyrénées, bienvenue en Pyréquitaine !
Hormis un petit bug, qui fait naître (dans l’hypothèse d’un redécoupage à 14 régions) une collectivité où se retrouveraient… Corses et Bretons, les cartes du Regionator ne sont pas plus stupides que celle tracée sur un coin de table, jusqu’au bout de la nuit, par Hollande et ses conseillers. Car, au delà de la simple blague, la fréquence des trajets quotidiens entre les départements est le genre de paramètres que prennent en compte les spécialistes de l’aménagement territorial. Les régions actuelles ont, par exemple, été créées sur la base du trafic téléphonique, c’est-à-dire des appels entre les chefs lieux de département. Or, le projet de l’Elysée ne ressemble à rien, si ce n’est qu’à de la basse politique. Tandis que l’enjeu, lui, est de taille. Puisque la région, par cette réforme, va voir son rôle de soutien aux entreprises renforcé, il s’agirait d’étudier de conserve l’organisation des territoires et l’activité économique. XSories a fait de son slogan Live. Capture. Share un véritable leitmotiv dans la gamme de produits que la marque propose. Créée par X-Treme Video, XSories est une marque ancrée dans l’industrie des sports extrêmes et propose, depuis 17 ans, des accessoires de haute-qualité pour filmer, enregistrer ou photographier des performances. Mais la volonté de partager n'est pas l'apanage des performeurs de sports extrêmes, et ça, XSories l'a compris. Ainsi, des accessoires plus lifestyle peuvent satisfaire tout un chacun, et la rédac' s'avère conquise par le test de 3 produits. Parce que faire des selfies est devenu vital pour la popularité et l'existence 2.0, cette perche U-Shot vous assurera des clichés de qualité grâce à sa possibilité de vous faire monter 49 cm plus haut, parce que oui, la taille ça compte. Entièrement habillée de cuir et avec en son sommet l'emplacement pour votre appareil photo ou caméra, cette perche télescopique de 105 grammes vous permettra de concurrencer Ellen DeGegeres avec son selfie, tweet le plus retweeté au monde, lors des Oscars regroupant toutes les plus grandes stars des Oscars. Un téléphone dont la batterie tient la journée relève du miracle entre les réseaux sociaux, les photos, les sms et les appels ; une solution indispensable s'impose. Nombreux sont ceux qui traînent un chargeur dans le sac et sont donc tributaires d'une prise. XSories propose donc Sneaker Bank un chargeur mini par la taille (6x9x1,8cm) mais grand par ses qualités : prix raisonnable, facilité d'utilisation et la possibilité de brancher deux appareils en même. Le gros avantage (en plus de son design façon semelle de basket) : il s'adapte à tous les appareils avec un port USB et Micro USB.
Si le prix de ce projecteur est conséquent, il se justifie par la qualité et les possibilités offertes par cet accessoire. Facilement transportable et avec une autonomie de 2 heures, le X-Project Pro Wifi fait mouche. Qu'il s'agisse de formats vidéos .avi, .mov, .mp4, .mkv, .3gp ou .webm de formats audio MP3, WAV, FLAC, OGG ou AAC ou photo JPEG, PNG,BMP ou GIF ce projecteur les supporte et les lit grâce à un port USB, un lecteur de micro carte SD mais également par Wifi. Au niveau pixel, la résolution de l'écran monte jusqu'à 1920 x 1080 pixels. Armez-vous de votre télécommande et installez-vous confortablement dans votre canap'. La rédac' a testé le modèle en dessous et en est pleinement satisfait. A vous de nous dire ce qu'il en est pour le X-Project Pro Wifi. Il s’appelle Angelo Casimiro et a participé au concours Google Science Fair. Il est parti de ce problème d’autonomie pour concevoir un système de rechargement qui ne dépend pas d’éléments extérieurs pour produire de l’énergie et ainsi recharger une batterie. Constatant qu’un homme fait en moyenne 7000 pas par jours, pourquoi ne pas utiliser cet élément pour produire de l’électricité ? Il a donc conçu une semelle dotée de membranes piézoélectriques. Le principe est simple : à chaque fois que le pied appuie dessus, de l’électricité est produite et l’énergie se stocke sur la batterie qui est reliée par un câble USB. Une idée lumineuse qui est encore en phase prototype. En effet, cela fonctionne déjà, mais la charge reste assez lente. Rechargez votre smartphone en marchant ! Bien sûr recharger les téléphones est loin d’être le seul usage possible de cette idée. L’énergie produite tant pour l’infant suffisant à éclairer quelques LED, cela peut être un excellent moyen de faire de la lumière dans des endroits ou l’éclairage public n’est pas disponible par exemple. On ne doute pas que ce jeune homme de 15 ans trouvera rapidement un travail dans le département recherche d’une grande entreprise. Que pensez-vous de ce concept ?
Cette année, la consigne est claire ici, explique Didier Suaire, proviseur du lycée Taaone à quelques instants d’ouvrir la salle polyvalente de l’établissement aux candidats de série S, pour l’épreuve de philosophie : tout les élèves éteignent leur téléphone portable, le mettent dans leur sac et déposent le tout au devant de la salle. Si on découvre un dispositif de communication durant l’examen, il y a suspicion et on fait un rapport. Les élèves sont bien prévenus : je pense qu’il n’y aura pas de tentative, ni de tentation, parce que c’est trop risqué de perdre des points à cet examen. Mercredi matin, le lycée de Taaone accueillait près de 150 candidats au baccalauréat, dans les diverses séries de terminale que compte l’établissement scolaire de Pirae. En salle polyvalente, les terminales S avaient le choix entre deux sujets et une explication de texte pour exposer leurs connaissance en Philosophie : Le droit doit-il se fonder sur une norme naturelle ? Les objets techniques font-ils partie de notre culture ? ou bien l’analyse d’un texte extrait de l’Essai touchant les lois naturelles (1725) de Montesquieu. Mais avant de débuter l’épreuve, à 7 h 25, le chef d’établissement arpentait la salle d’examen, entre les rangées d’élèves, l’œil fixé sur les voyants lumineux du détecteur qui le précédait : Je détecte encore la présence d’appareils. Et de rappeler une fois encore les consignes. Cette année, 1968 élèves de terminale passent le bac en Polynésie française. Téléphones portables et autres appareils de télécommunication de poche sont dans le collimateur des centres d’examen, sur décision du ministère de l’Education.
Il s’agit d’un détecteur de téléphone portable et non d’un brouilleur. Il détecte les appareils utilisant les normes 2G et 3G, précise à propos de l’appareil utilisé Julien Fontaine, chef du département des examens et concours du vice-rectorat. Cet équipement permet de détecter dans la salle la présence d’un appareil de communication. La mesure de contrôle est décidée depuis plusieurs années par le ministre de l’Education nationale, en métropole, et relayée cette année en Polynésie par M. le ministre Michel Leboucher, afin de protéger les salles d’examen de toutes tentatives de fraude par le biais des téléphones portables, cellulaire et autres dispositifs. C’est un garant de la bonne marche des examens. Les appareils de détection ont été mis à disposition par le vice-rectorat et la Direction de l’enseignement secondaire (DES) par mesure de dissuasion. Les élèves sont prévenus. En Polynésie française trois cas de fraudes suspectées ont été soumis à la commission de discipline du baccalauréat en 2013 : utilisation d'un manuel ou de textes annotés lors des épreuves orales de français ou de langues notamment et usurpation d'identité. Dans d’autres établissements il m’est déjà arrivé de constater des fraudes au moyen de mesureurs, d’enregistreurs. Maintenant on a même des montres qui peuvent servir de téléphone portable, constate Didier Suaire. A l’échelle nationale en 2012, la fraude au téléphone portable ou appareil audio a représenté 36,5% des 469 dossiers disciplinaires (0,07% des 686907 dossiers), contre 29% de flagrant délit d’utilisation d’antisèche ou 7% constats de communication entre candidats. C'est cet homme, suivi en psychiatrie depuis plusieurs années, qui a abordé Alexandre dans la rue la nuit du 4 au 5 juin 2011, dans le quartier des Halles, alors que l'adolescent rentrait chez son père à vélo. Christophe Camy lui demande l'heure. Alexandre sort son téléphone portable pour consulter l'horloge sur l'écran de son appareil. Là, Camy cherche à s'emparer du mobile. L'adolescent résiste, son vélo tombe. Mickaël Baehrel, un autre marginal de 28 ans, qui passait par là et connaissait Camy, prend part à la rixe et assène de violents de coups de marteau à Alexandre. Camy affirme qu'il a pris la fuite. Baehrel soutient pour sa part que Camy a aussi frappé l'adolescent. Un point qui reste à «éclaircir», selon le procureur de la République de Pau, Jean-Christophe Muller.
Jusqu'à présent, Mickaël Baehrel s'était contenté d'avouer, en avril dernier, avoir frappé l'adolescent avec un marteau parce qu'il avait «la rage». Puis, après avoir donné de multiples versions des faits, il a finalement avoué qu'il était avec deux autres hommes le soir des faits : Christian P., un marginal subitement décédé à l'été 2012, et Christophe Camy. «La carrure frêle, l'élocution difficile et le regard hagard, Christophe Camy a quitté le palais de justice en larmes et encadré de policiers, jeudi soir, vers 20 h 30», raconte le quotidien régional Sud-Ouest. Il a été incarcéré à la maison d'arrêt de Pau.
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